— Bruce : Chez moi, l’Amérique que j’aime, celle sur laquelle j’ai
écrit, ce symbole d’espoir et de liberté pendant 250 ans, est actuellement dans
les mains d’une administration corrompue, incompétente et traîtresse.
— Donald : Je vois que Bruce Springsteen, complètement surcoté,
est allé dans un pays étranger pour mal parler du président des États-Unis. Je
ne l’ai jamais aimé, je n’ai jamais aimé sa musique, ni sa politique de gauche
radicale et, surtout, ce n’est pas un type talentueux – juste un idiot arrogant
et odieux. Ce pruneau desséché de rocker (sa peau est tout atrophiée !) devrait
GARDER SA BOUCHE FERMEE jusqu’à ce qu’il revienne dans le pays, c’est le juste
prix à payer. Ensuite, nous verrons tous comment cela se passe pour lui !
— Bruce : En Amérique, ils persécutent les gens qui utilisent leur
droit à la liberté d’expression et expriment leur désaccord.
— Neil : Nous n’avons pas peur de toi ! Arrête de te soucier de ce
que les rockeurs disent de toi et pense plutôt à sauver les États-Unis du chaos
que tu as foutu.
La question est : quelle
insulte va-t-il trouver pour Neil ?
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