Tout à l’heure, en préparant le
dîner, j’ai lu un passage du Journal
de Matthieu Galley dans lequel il évoquait une soirée où se trouvait « un Aragon
détendu » (bien sûr accompagné de l’inévitable Elsa). L’occasion d’un
portrait dont je me suis régalé. « Il crée consciemment le malaise, il
aime que l’air, autour de lui, soit électrique. Mais c’est lui-même qui branche
le courant. »

