« Contrairement au Confucius
historique, le Confucius de Tchouang-Tseu embrasse dans une même réprobation
les pires tyrans et les « bons rois » les plus universellement
révérés. Ces derniers n’ont pas mieux valu que les premiers, affirme-t-il
tranquillement, faits historiques à l’appui. Les uns ont été plus avides de
prestige, les autres plus avides de possessions, voilà tout. Et ces deux formes
d’avidité sont, chez les puissants de ce monde, des forces que nul ne peut
arrêter. » Jean François Billeter, Etudes
sur Tchouang-Tseu (Allia)