J’aime bien trouver chez des gens de ma génération une certaine constance dans l’attachement à ce qui fut notre passion adolescente : le rock. En même temps, je mesure ce que cet intérêt démesuré pour un style musical peut avoir d’envahissant et parfois de limité. J’évite d'ailleurs les contacts à cause de l’image en miroir qu’ils me renvoient. Je comprends trop bien le besoin de se rassurer en tournant indéfiniment autour du déjà connu. Je suis moi-même toujours à la limite de rechuter. En ce moment, par exemple, je réécoute les Who et j'y prends un grand plaisir.
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