Et voilà. J’ai replongé. Il m’aura
suffi de regarder la vidéo mentionnée précédemment, dans laquelle on peut voir la
jeune Martha Argerich en état de grâce interpréter ce qu’on peut considérer
comme l’un de ses tubes. J’ai enchaîné avec un documentaire où on la voit jouer
chez elle en compagnie de son mari chef d’orchestre. Et c’est la rechute. J’ai
actionné le lecteur multimédia de l’ordinateur, j’ai sélectionné les
enregistrements de la pianiste qui se trouvent sur le disque dur (74 fichiers
affichés) et depuis, je fais tourner. Ravel, Chopin, Bartók, Prokofiev,
Schumann, Bach.... La musique agit comme une drogue ; les
neuroscientifiques doivent être en mesure de confirmer ce fait.
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