Le soir, avant de plonger dans le
monde des rêves, je lis quelques pages du livre qui se trouve sur la table de
nuit, en ce moment Jacques le Fataliste et
son maître. J’apprécie le dépaysement qui rend les premières approches un
peu difficiles. Puis, à mesure qu’on se familiarise, on se prend à aimer la
liberté débridée de Diderot, son humour irrespectueux, son jeu avec les règles
de narration, la manière dont il s’amuse à déjouer les attentes du lecteur
auquel il s’adresse directement.
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