Dans la liste des disques qui
rendent heureux, ne pas omettre THE KINK KONTROVERSY que je viens de réécouter sur
un CD acheté au début des années 90. C’était avant les versions remastérisées,
le son est pourri et cela convient parfaitement à ces titres qui alternent rock
primitif et ballades ébréchées. Le premier titre représente l’idéal de ce que
je rêvais d’atteindre lorsque je songeais monter un groupe de blues garage.
Toutes les chansons suivantes sont parfaites (mélodies qui donnent envie de
fredonner, textes plein de sensibilité grinçante). On partage le sentiment
d’euphorie de Ray Davies réalisant qu’il est en mesure d’écrire des bijoux
comme When I see that girl of mine ou
I’m on an Island. La mélancolie qui
se glisse dans des titres comme Where
have all the good times gone laisse entrevoir le filon que le grand Ray
explorera dans le futur. Bref, tout est bon, pas une seconde à jeter.
samedi 11 janvier 2025
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